Pour info, ces derniers temps, @mguihal@simon.louvet.zen et moi-même avons paramétré un nouveau serveur multi-instance, afin d’y installer toutes les instances Archipelago pour le projet Transiscope.
Cela évite de payer pour rien 4 serveurs différents.
Cela me permet de libérer un de mes serveurs que je vais arrêter, et dans la même volonté d’alléger l’AV, je vais voir si on ne peut pas en arrêter ou en mutualiser d’autres…
Cela me semble contre-intuitif de centraliser les instances sur 1 serveur alors que l’intérêt c’est de pouvoir compiler des données de plusieurs instances de serveurs ? La logique est financière principalement j’imagine.
Oui, merci de souligner ce paradoxe
Evidemment, c’est pour une question financière, et aussi environnementale, il ne sert à rien de faire tourner 4 serveurs alors qu’un seul suffit.
L’important est de se dire que la gouvernance des données de chacun des serveurs est géré par un collectif distinct, qui garde le contrôle de ses données. C’est ça vraiment la différence avec un serveur où toutes les données seraient « centralisées » par une seule gouvernance (par exemple, la base « Près de chez nous », qui a centralisé beaucoup d’alternatives, mais qui derrière, ne sont pas gérées par des humains).
Ici, potentiellement, si un acteur souhaite héberger lui-même son serveur un jour (sur une machine physique dans son tiers lieu par exemple), ce sera possible.
Dans le cas de Transiscope, le COPIL n’a pas de regard sur la manière dont les groupes locaux s’organisent et choisissent de sélectionner telle ou telle alternative.
financier : 1serveur au lieux de 4serveur : levé du frein pour les territoires
Technique / communautaire : soutenir des territoires pour mettre en place une instance : communauté de tech qui maintiennent le même serveur ; chaque territoire doit fournir un tech à l’équipe